The Notes

Publié le par Lycée Loubatière.

Nous avons été voir The Notes, pièce de théâtre s’inspirant de Macbeth (Shakespeare). Le comédien David Ayala joue un metteur en scène qui présente ses notes aux acteurs. Le public fait parti du spectacle, dans le rôle des comédiens de Macbeth. Il désigne une personne au hasard qui incarne pour la suite de la pièce un personnage ; il reviendra plusieurs fois pour lui parler des arrangements à faire. Il y a donc une vraie proximité avec le public qui n’est plus seulement spectateur.

David Ayala joue avec beaucoup d’humour, il n’hésite pas à faire des grimaces, à hurler sur scène. Mais lors des passages où il reprend Macbeth, il devient grave, sombre. Il a l’air de changer brusquement de personnalité. Le mélange de comédie et de tragédie donne de la vitalité, un nouveau souffle.

La fin, où le Roi Duncan est assassiné dans sa baignoire est puissante. David Ayala sort d’un bain remplit de sang et s’avance jusqu’au devant de la scène. La scène est perturbante, étonnante, et il finit sur une pointe d’humour lorsque les lumières se rallument subitement et qu’il continue à parler de ses notes, surprenant le public.

Pour conclure, cette pièce de théâtre était intéressante, un peu longue par moments et il y a des subtilités dans le domaine du cinéma qu’il est difficile de comprendre sans avoir vu les films. Mais globalement j’ai beaucoup aimé.

rdi nous avons été voir The Notes, pièce de théâtre s’inspirant de Macbeth (Shakespeare). Le comédien David Ayala joue un metteur en scène qui présente ses notes aux acteurs. Le public fait parti du spectacle, dans le rôle des comédiens de Macbeth. Il désigne une personne au hasard qui incarne pour la suite de la pièce un personnage ; il reviendra plusieurs fois pour lui parler des arrangements à faire. Il y a donc une vraie proximité avec le public qui n’est plus seulement spectateur.

David Ayala joue avec beaucoup d’humour, il n’hésite pas à faire des grimaces, à hurler sur scène. Mais lors des passages où il reprend Macbeth, il devient grave, sombre. Il a l’air de changer brusquement de personnalité. Le mélange de comédie et de tragédie donne de la vitalité, un nouveau souffle.

La fin, où le Roi Duncan est assassiné dans sa baignoire est puissante. David Ayala sort d’un bain remplit de sang et s’avance jusqu’au devant de la scène. La scène est perturbante, étonnante, et il finit sur une pointe d’humour lorsque les lumières se rallument subitement et qu’il continue à parler de ses notes, surprenant le public.

Pour conclure, cette pièce de théâtre était intéressante, un peu longue par moments et il y a des subtilités dans le domaine du cinéma qu’il est difficile de comprendre sans avoir vu les films. Mais globalement j’ai beaucoup aimé.

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